Larbi Icheboudène s’est employé à saisir dans le temps et dans l’espace la réalité en devenir de la ville d’Alger en tant que capitale nationale. Son grand mérite est de présenter cette cité de plus de trois millions d’habitants, qui connaît de nombreux problèmes de croissance, en faisant intervenir le regard de l’historien mais aussi et surtout, ceux de l’urbaniste et du sociologue.
L’ouvrage est articulé en deux moments distincts : celui de la Médina depuis son origine jusqu’à la fin de la période turque, puis celui de l’ère coloniale qui a produit l’Alger moderne. Il constituer une contribution qui fera date dans les études de la sociologie urbaine.
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